Heureuse initiative pour démontrer que dans un contexte défavorable (promiscuité et alcool par exemple), les contacts physiques sur les femmes… inopportuns… faut-il le préciser, explosent. Cette courte vidéo montre des femmes revêtues de robes connectées qui enregistrent : la fréquence, la durée et le lieu du contact sur le corps. Soit ici, d’un attouchement toutes les 90 secondes….
En synthèse, dans un contexte de soirée arrosée… dans un bar ou dans un club…. même si on « relâche » la pression avec les collègues. on se rappelle et surtout on applique la différenciation entre le harcèlement et le flirt.
Un geste, une parole, un regard deviennent du harcèlement quand il :
- s’agit d’un acte unilatéral
- est source d’irritation
- viole la proxémie (espace personnel)
- est dégradant
- n’est pas souhaité !
Avec les éléments suivants qui expriment le caractère inopportun : un geste de retrait, un simple non, un éloignement ou un même un voisin immédiat qui signale le malaise que l’action génère chez les personnes présentes.
En revanche, s’il est visiblement réciproque, stimulant, source de plaisir bilatéral et surtout accepté, il s’agit certainement de flirt qui laisse présager d’une relation amoureuse… mais pour ça il faut être à l’écoute de l’autre.
Il convient de le préciser en fin d’année lors des apéritifs annuels, soupers d’entreprise et autres célébrations annuelles qui sont souvent bien arrosées.. avec le facteur de désinhibition qui va toujours avec…